C’EST PAS L’ARGENT QUI FAIT L’ BONHEUR !


Des tas de choses

que l’argent ne peut acheter !


L’argent peut acheter :

Un lit mais pas le sommeil.

Des livres mais pas l’intelligence.

Les aliments mais pas l’appétit.

Une maison mais pas un foyer.

Des médicaments mais pas la santé.

Une vie de luxe mais pas la culture.

L’amusement mais pas le bonheur.




Au bout du compte, c’est quoi le plus important ?

On a rapporté que onze millionnaires périrent dans le naufrage du Titanic. L’un des rescapés, le Major A.H. Peuchen, laissa dans sa cabine 300 000 dollars en argent liquide, en bijoux et en titres. Plus tard, il devait déclarer :

-- À ce moment-là, l’argent n’avait plus aucune valeur pour moi. J’ai laissé tout ça, et j’ai juste pris trois oranges.



De toutes façons, on ne sera jamais satisfait


Un jour, on demandait à un magnat du pétrole, l’un des hommes les plus riches du monde à l’époque :

Si aujourd’hui vous preniez votre retraite, pourriez-vous dire que vous pouvez compter sur un milliard de dollars ?

Tout en arpentant la pièce, l’homme faisait un calcul dans sa tête.

Sans doute, répondit-il enfin. Mais dites-vous bien, monsieur, que, de nos jours, un milliard de dollars, ce n’est plus ce que c’était !



N’attendez pas pour donner !


Un homme riche confiait à un son curé :

Pourquoi me reproche-t-on d’être avare, alors que j’ai fait savoir à tout le monde qu’à ma mort, je ferai don de toutes mes possessions à des œuvres de charité ?

Eh bien, expliqua le curé, permettez-moi de vous raconter l’histoire du cochon et de la vache. Un jour, un cochon se lamentait d’être aussi impopulaire : « On parle toujours de ta gentillesse et de ton amabilité, disait-il à la vache. Certes, tu donnes le lait et la crème. Mais moi, je donne encore plus. Je donne mon lard et mon jambon, je donne mes poils de soie, et, de mes pieds, on fait même de la saumure ! Malgré tout ça, personne ne m’aime. Pourquoi donc ? » Après une minute de réflexion, la vache répondit : « Eh bien, c’est peut-être que moi je donne de mon vivant. »




La pelle de Dieu

On raconte l’histoire d’un fermier qui était connu pour sa générosité. Ses amis ne pouvaient comprendre comment il pouvait autant donner tout en demeurant aussi prospère. Un jour, ses amis l’interrogèrent :

Il y a quelque chose qu’on ne comprend pas. Tu donnes plus que nous tous, et pourtant, on dirait que tu as toujours plus à donner.

Oh, c’est pas sorcier, répondit le fermier. Avec ma pelle, j’arrête pas de remplir la brouette de Dieu, et Lui, pendant ce temps-là, Il arrête pas de remplir la mienne. Mais faut dire que c’est Lui qui a la plus grosse pelle !



Ce n’est pas le prix qui compte

Autrefois, dans une grande ville, on annonça qu’un célèbre violoniste viendrait jouer de son violon qui valait plus de mille dollars. À l’époque, c’était une énorme somme d’argent. Ce soir-là, le théâtre était bondé. Nombreux étaient venus pour voir le beau violon, autant que pour entendre la musique. Le violoniste monta donc sur scène et se mit à jouer. Le public en fut ravi.

Mais, tout à coup, l’artiste jeta le violon sur le sol avec violence et l’écrasa de ses pieds, et le piétina jusqu’à le réduire en miettes. Puis il quitta la scène. Le public, absolument choqué, pensait que l’homme avait perdu la tête. Imaginez, détruire un si beau violon, un instrument aussi coûteux ! Alors, le directeur apparut et s’adressa à l’auditoire :

Mes amis, le violoniste n’a pas encore joué sur le violon à mille dollars. L’instrument que vous venez d’entendre a été acheté au marché aux puces. Il va maintenant jouer sur l’instrument à mille dollars.

Alors le musicien se remit à jouer. Mais peu de gens dans l’auditoire furent capables de percevoir la différence.

Il voulait simplement leur montrer que c’est le violoniste, plus que le violon, qui fait la musique. Vous n’êtes peut-être qu’un violon à 65 cents, mais avec vous le Maître fera une magnifique musique, si vous Le laissez faire.

Ne vous amassez pas des richesses dans ce monde, où les vers et la rouille détruisent, où les cambrioleurs forcent les serrures pour voler. Amassez–vous plutôt des richesses dans le Ciel, où il n’y a ni vers ni rouille pour détruire,

ni cambrioleurs pour forcer les serrures et voler. (Matthieu 6:19-20)